Un biocoop, rue Defrance (Vincennes).
Au 140 rue Defrance, Samuel Gérard va ouvrir prochainement un magasin Biocoop. Biocoop est avant tout un réseau d’acteurs indépendants engagés. Le projet Biocoop a cette particularité, en effet, que ce sont les gens du quartier qui se sont réunis pour travailler ensemble.

Un Naturalia, rue Jean-Jacques Rousseau (Fontenay)
Un autre magasin BIO, Naturalia, ouvrira en rez-de-chaussée du nouvel immeuble (en lieu et place de l'ancien garage Fiat). Créé en 1973, Naturalia est aujourd'hui la première enseigne spécialisée de produits biologiques et naturels en région parisienne avec 105 magasins proposant plus de 5000 références.
Je suis persuadé que les deux magasins trouveront rapidement leur public.
Si les prix des produits BIOS peuvent parfois se révéler plus élevés que ceux cultivés avec des engrais chimiques et des pesticides l'accroissement des produits BIOS ne peut que permettre au final le développement d'une filière et donc une baisse globale des prix dans le futur. Cette vision a été largement portée et développée dans les Grenelle 1 et 2 de l'environnement par Jean-Louis Borloo et par Valérie Pécresse (en charge de la Recherche à l'époque) avec laquelle il créa notamment en 2008 la « fondation de coopération pour la recherche sur la biodiversité et la préservation du vivant », présentée comme « le 1er outil opérationnel du Grenelle (de) l'environnement ». Véritable plate-forme science/société qui soutient et promeut les projets scientifiques et l’expertise sur la biodiversité en associant chercheurs, associations, fondations et entreprises ainsi que des organismes publics de recherche.
Je fais donc partie de ceux qui encouragent la consommation de produits bios notamment et qui militent pour une écologie pragmatique et non sectaire comme les élus qui se revendiquent écologistes nous la présentent aujourd'hui.